«Cette brume insensée où s’agitent des ombres, comment pourrais-je l’éclaircir ?» (Raymond Queneau)
Comment recevons-nous un patrimoine culturel et comment cette transmission façonne-t-elle notre identité ?
En s’appuyant sur les origines basques de la chorégraphe, Amalur (Terre-Mère) initie un dialogue dansé entre une mémoire personnelle – à la recherche d’une empreinte de ses ancêtres – et une mémoire collective – imagée par des extraits du documentaire « La fête basque » production Eladio Monino, 1983.
La pièce invite collectivement à un travail de mémoire et souhaite mettre en lumière les relations invisibles qui lient plusieurs générations. Dans un monde où la montée des nationalismes et les replis communautaires grandissent dangereusement, la chorégraphe explore sa relation à son ethnicité basque tout en célébrant la diversité culturelle qui construit son identité.